UNE CHAMBRE A ROME (au Théâtre Romain Rolland de Villejuif) de, par, avec Sarah Capony

et avec aussi Quentin Baillot, Erwan Daouphars, Marie Denarnaud, Pauline Moulène, Anthony Paliotti BA et intégrale 2 caméras Avec sa première création, Femme de chambre, Sarah Capony remporte les Prix du Jury et du Public du Théâtre 13 et le Prix de la Révélation féminine du Palmarès du théâtre. Dans ce second spectacle, elle questionne la place du rêve dans nos existences. À travers différentes variations de couples, elle fait valser des séquences de vies emmêlées, où tristesse et joie se côtoient. Ses personnages luttent contre la morosité du monde en colorant leurs vies. Léonard, Jeanne et Samuel sont acteurs, ils jouent dans une comédie italienne gorgée de soleil et d’insouciance. Sur scène, ils sont invincibles et charmeurs. En loge, ils guettent, inquiets, les trop rares spectateurs. Véronika, la compagne de Léonard, accueille les chômeurs dans un improbable comptoir Pôle emploi. Chaque jour, elle se travestit en personnage de film et invite son mari à la rejoindre dans sa “comédie d’un jour”. Angèle est serveuse dans le bar en face du théâtre. En quête d’ailleurs, elle écoute Léonard, les yeux brillants. La pièce de Sarah Capony est comme un film en couleur, libre et léger. Écrit par une actrice pour des acteurs, le texte est interprété avec une finesse et une sincérité rares. Un monde sensible se déploie sous nos yeux. Ici, l’échec est drôle et le désespoir joyeux. L’émotion nous emporte au plus profond des...

ETAT DE SIEGE (en tournée)

La Peste incarnée par un jeune opportuniste accompagné de sa secrétaire, surgit dans un pays où rien ne bouge. Elle prend le pouvoir et met en place un régime totalitaire. Mais elle se trouve rapidement confrontée à une résistance insolente, celle d’un homme, seul, révolté. Camus écrit ici une farce satirique, sorte de tragédie-bouffe, qui n’est pas sans rappeler les frasques de l’Ubu roi de Jarry. Le ton burlesque étonne chez l’écrivain plus familier du genre sérieux et du « souci du réel ». Sous le visage de l’homme de raison apparaît ici celui de l’homme de théâtre aux élans romantiques et farcesques, resté fidèle à ses premières amours pour le théâtre. D’ALBERT CAMUS Mise en scène de Charlotte Rondelez Charlotte Rondelez, d’un geste décidé, taille dans le vif du texte et transpose le jeu avec une audace que ne renieraient pas les auteurs (…) C’est mené tambour battant, avec franchise et finesse devant un public qui écoute attentivement cette méditation à haute combustion. » Le Figaro, Armelle...

LE CHANT DES OLIVIERS (Jean-Claude Dreyfus, Julia Duchaussoy, Frédéric Quiring) – La Luna – 16h10

BAweb 2’41 » Jacques, ancien restaurateur à la retraite et sans grandes ressources, habite seul dans la maison provençale de sa filleule Léa. Quand elle vient lui rendre visite le temps d’un weekend, l’ambiance est au beau fixe… mais pas pour longtemps ! En réalité, Léa est venue pour annoncer son mariage imminent et son projet d’achat d’un restaurant avec Fahed, un jeune cuisinier d’origine libanaise. Or ce projet ne verra le jour que si Léa vend sa maison… celle où vit Jacques. Entre éclats de rires et coups de gueule, Jean-Claude Dreyfus, Julia Duchaussoy et Frédéric Quiring s’étreignent et se déchirent au fil de cette comédie douce-amère. Teaser 1’30 » Un décor unique, des thèmes actuels et universels, des personnages passionnés à l’aube d’une vie nouvelle… Le temps d’un week-end, les trois protagonistes dotés d’un humour salé, ne mâcheront pas leurs mots et n’hésiteront pas à s’affronter avec pertinence et drôlerie. Mais c’est avant tout l’amour qui va se décliner le temps de ce week-end. J’ai le désir d’élaborer une « cuisine émotionnelle », gourmande, vive, précise et poétique tout en soignant la complexité des rapports entre les personnages. Faire vivre ce trio haut en couleurs, qui saura se réunir harmonieusement à l’abri des oliviers… BApro...

LA COLÈRE DU TIGRE (Claude Brasseur, Yves Pignot par Christophe Lidon)

Après son important succès pendant 5 mois au théâtre Montparnasse, le spectacle mis en scène par Christophe Lidon part sur les routes de France avec Yves Pignot dans le rôle de Claude Monet qui rejoint Claude Brasseur toujours aussi brillant en Clémenceau Au soir de leur vie et de leur longue amitié, Clémenceau, géant de la politique, et Claude Monet, géant des arts, vont s’opposer avec force. Comment, lorsqu’on est un homme d’action comme Clémenceau, supporter que son célèbre ami ne tienne pas sa promesse et perde ses moyens d’homme et d’artiste ? La petite maison de Clémenceau au bord de l’Atlantique devient le cadre d’un conflit bien plus complexe que son motif originel et restitue l’humanité profonde et la sensibilité de ces deux hommes exceptionnels. Texte, mise en scène et interprétation se mettent au service de l’émotion qui jaillit face à cette évocation de l’amitié, de l’honneur, du sens de la vie, de la vieillesse et… de l’amour. de Philippe Madral mise en scène Christophe Lidon avec Claude Brasseur, Yves Pignot, Sophie Broustal, Marie-Christine Danède BApro 7′ (Bande-annonce à l’attention des programmateurs, tourneurs, diffuseurs…Mise en avant des qualités du spectacle et des intentions de l’équipe artistique tout en restant fidèle à l’émotion des spectateurs) intégrale du spectacle pour archive et/ou pour les nouvelles équipes technique / artistique intégrale des interviews de Christophe Lidon, Claude Brasseur et Yves...