Auteurs : Frédéric Rose et de Vincent Jaspard Mise en scène et adaptation : Laurent Serrano Avec : Pascal Neyron, Emmanuel Quatra et Benoît Urbain Durée : 1h15 Trois musiciens, en costume-cravate, jouent piano, guitare, « valisophone », chantent et conversent autour d’un verre. Ils discutent de tout, de rien, du cinéma japonais et des pop-corn, d’un regard qui en dit long et qui parle en alexandrins. L’un deux veut se débarrasser d’un bout d’arc-en-ciel, un autre prétend avoir vu Verlaine hier soir… Les élans ne sont pas toujours des animaux faciles est le titre générique d’une série de textes mettant en scène trois personnages plongés dans un quotidien qui se dérobe et bascule dans le fantastique le plus loufoque. Au petit jeu des références, on pense immédiatement aux Diablogues de Roland Dubillard. Un univers décalé, élégant et absurde rythmé par des chansons allant de Trenet à Eddy Cochran, de Nougaro à Gershwin....
Teaser 1’30 » Un nomade, un peintre, une prostituée, un exilé, une femme… Cinq personnages en quête d’Identité vont croiser leurs routes et leurs destins : de ces rencontres vont naître questionnements, révélations, confrontations ou réconciliations. Avec l’autre, avec soi-même, avec le monde. Cinq histoires intimes, et pourtant universelles. Pour nous parler du monde dans lequel nous vivons. BAweb 2’30 » : BApro 7’30 » Intégrale 1h20′...
BAweb Comment aimer jusqu’à la folie un fantasme ? Stefan Zweig nous livre le portait d’une femme plongée dans un amour obsessionnel pour un romancier de renom, qui fait de l’attente le sens ultime de sa vie. Ses paroles fébriles dévoilent les ravages de la passion qu’elle a portée pendant toute sa vie au destinataire de cette lettre … Toute la profondeur et la sensibilité de Zweig, une sublime descente aux enfers de Stefan Zweig adaptation théâtrale Michael Stampe mise en scène Christophe Lidon avec Sarah Biasini et Frédéric Andrau lumières Marie-Hélène Pinon, Lucie Joliot son Michel Winogradoff production Acte 2, RSC, Les Graveurs...
Teaser 1914. Eugène, aussi beau qu’insolent, part pour le front comme engagé volontaire. Affecté à Verdun en 1916, il est blessé lors des combats par un éclat d’obus. Il y laisse la moitié de son visage. Eugène va vivre alors une irrépressible descente aux enfers : comment continuer à vivre lorsque le miroir nous donne à voir les restes de ce qui a été et ne sera plus ? Au Val-de-Grâce où il est hospitalisé, Eugène va rencontrer les architectes de sa nouvelle vie et suivre les pas, ou plutôt l’ombre, d’un certain Cyrano de Bergerac… BAweb : BApro : intégrale :...
Carmen Maria Vega : Interview Vincent Baguian : Interview Carmen Maria Vega et Vincent Baguian : Entretien croisé La Sacem, Platine et L’Express.fr proposent une série d’entretiens, réalisés par Jean-Pierre Pasqualini, entre deux créateurs. Ils répondent d’abord séparément aux questions avant de se retrouver ensemble pour une interview...
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