LES VOISINS (Lionel Abelanski, Patrick Catalifo, …) actuellement au Poche-Montparnasse

Ils s’appellent Laheu et Blason. Ils habitent deux maisons jumelles, ce dernier avec sa fille, l’autre avec son fils. Les deux maisons ont une terrasse commune. Un lien de voisinage, quand ça s’y met, on ne fait pas plus fort ; comme attache, c’est plus fort que le mariage, que l’amitié ou l’amour-passion ; et puis c’est autre chose. Il semble que rien ne puisse leur arriver, tellement ils sont bien calés dans leur microcosme, tous les quatre. Et puis il leur en arrive des masses. Le monde extérieur leur tombe dessus. C’est un tourbillon, une tempête qui dévaste, arrache tout, qui dresse les deux bonshommes l’un contre l’autre dans un égarement sans nom ; Alice et Ulysse, leurs enfants, on pourrait dire qu’ils s’accrochent, comme à un bout d’épave : s’engloutiront-ils ? Et puis, qui aurait pu le prévoir ? Le microcosme se recompose, le lien de voisinage se reforme, décidément il y a là quelque chose qui est plus fort que tout. Il suffit de dire ça et voilà qu’une nouvelle tornade… mais les choses cette fois tournent autrement. Michel Vinaver de Michel VINAVER – Mise en scène Marc PAQUIEN A PARTIR DU 4 SEPTEMBRE 2015 – Du mardi au samedi 21h, dimanche 15h Avec Lionel ABELANSKI – Alice BERGER – Patrick CATALIFO – Loïc MOBIHAN Décors Gérard DIDIER & Ophélie METTAIS-CARTIER Lumières Pierre GAILLARDOT Costumes Claire RISTERUCCI Son Xavier JACQUOT Assistant à la mise en scène Antony COCHIN Durée 1h30 environ Production Théâtre de Poche-Montparnasse – Réalisation du décor les ateliers...

LE CHANT DES OLIVIERS (Jean-Claude Dreyfus, Julia Duchaussoy, Frédéric Quiring) – La Luna – 16h10

BAweb 2’41 » Jacques, ancien restaurateur à la retraite et sans grandes ressources, habite seul dans la maison provençale de sa filleule Léa. Quand elle vient lui rendre visite le temps d’un weekend, l’ambiance est au beau fixe… mais pas pour longtemps ! En réalité, Léa est venue pour annoncer son mariage imminent et son projet d’achat d’un restaurant avec Fahed, un jeune cuisinier d’origine libanaise. Or ce projet ne verra le jour que si Léa vend sa maison… celle où vit Jacques. Entre éclats de rires et coups de gueule, Jean-Claude Dreyfus, Julia Duchaussoy et Frédéric Quiring s’étreignent et se déchirent au fil de cette comédie douce-amère. Teaser 1’30 » Un décor unique, des thèmes actuels et universels, des personnages passionnés à l’aube d’une vie nouvelle… Le temps d’un week-end, les trois protagonistes dotés d’un humour salé, ne mâcheront pas leurs mots et n’hésiteront pas à s’affronter avec pertinence et drôlerie. Mais c’est avant tout l’amour qui va se décliner le temps de ce week-end. J’ai le désir d’élaborer une « cuisine émotionnelle », gourmande, vive, précise et poétique tout en soignant la complexité des rapports entre les personnages. Faire vivre ce trio haut en couleurs, qui saura se réunir harmonieusement à l’abri des oliviers… BApro...

LA COLÈRE DU TIGRE (Claude Brasseur, Yves Pignot par Christophe Lidon)

Après son important succès pendant 5 mois au théâtre Montparnasse, le spectacle mis en scène par Christophe Lidon part sur les routes de France avec Yves Pignot dans le rôle de Claude Monet qui rejoint Claude Brasseur toujours aussi brillant en Clémenceau Au soir de leur vie et de leur longue amitié, Clémenceau, géant de la politique, et Claude Monet, géant des arts, vont s’opposer avec force. Comment, lorsqu’on est un homme d’action comme Clémenceau, supporter que son célèbre ami ne tienne pas sa promesse et perde ses moyens d’homme et d’artiste ? La petite maison de Clémenceau au bord de l’Atlantique devient le cadre d’un conflit bien plus complexe que son motif originel et restitue l’humanité profonde et la sensibilité de ces deux hommes exceptionnels. Texte, mise en scène et interprétation se mettent au service de l’émotion qui jaillit face à cette évocation de l’amitié, de l’honneur, du sens de la vie, de la vieillesse et… de l’amour. de Philippe Madral mise en scène Christophe Lidon avec Claude Brasseur, Yves Pignot, Sophie Broustal, Marie-Christine Danède BApro 7′ (Bande-annonce à l’attention des programmateurs, tourneurs, diffuseurs…Mise en avant des qualités du spectacle et des intentions de l’équipe artistique tout en restant fidèle à l’émotion des spectateurs) intégrale du spectacle pour archive et/ou pour les nouvelles équipes technique / artistique intégrale des interviews de Christophe Lidon, Claude Brasseur et Yves...

DANS L’INTIMITÉ DE L’ATELIER GEOFFROY-DECHAUME (1816-1892), sculpteur romantique

Dans l’intimité de l’atelier Geoffroy-Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique mercredi 24 avril 2013 – lundi 23 septembre 2013 © Fonds Geoffroy-Dechaume, MMF/CAPA Cette exposition propose une immersion dans l’atelier d’un sculpteur au XIXe siècle afin de montrer le processus créatif d’un artiste inventif et fécond : Adolphe Victor Geoffroy-Dechaume. Particulièrement doué pour la conception de modèles d’orfèvrerie (il est le créateur de chefs-d’œuvre présentés au musée du Louvre) il participe aussi comme sculpteur à des chantiers de restauration d’édifices majeurs (la Sainte Chapelle, Notre-Dame-de-Paris, la cathédrale de Chartres) aux côtés d’architectes emblématiques tels que Viollet-le-Duc ou Lassus. Par la diversité et la qualité des objets présentés, cette exposition révèle les différentes étapes de la création au travers de croquis, dessins, photographies, estampes, cires, moules, plâtres originaux, moulages sur nature, objets révélateurs des pensées premières de l’artiste. Ces traces émouvantes, laissées derrière lui dans le secret de l’atelier, témoignent du travail d’un artiste dont la finesse et l’inventivité n’ont d’égale que sa capacité érudite à restaurer la sculpture monumentale. Découverte d’un autoportrait de Charles Baudelaire dans le fonds de l’atelier du sculpteur Lors de l’inventaire des œuvres graphiques du complément de donation Geoffroy-Dechaume effectué en décembre 2011, un dessin aquarellé remarquable attire l’attention de Carole Lenfant, attachée de conservation et commissaire de l’exposition. Le montrant à Emmanuel Bréon, conservateur au musée, ce dernier pense qu’il s’agit d’un portrait de Charles Baudelaire (1821-1867) et qu’il serait bon de le présenter à un expert. Jean Paul Avice, spécialiste baudelairien a pu confirmer cette découverte et attester qu’il s’agissait d’un autoportrait. Ce dessin inédit sera prochainement présenté dans l’exposition « Dans l’intimité de l’atelier...